La défaillance malgré tout

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Des mois que le navire tanguait. Finalement, Thomas Wilson a dû s’y résoudre. Le dirigeant de Munster a, le 5 décembre, placé son entreprise sous la protection de l’administration judiciaire (tribunal de commerce de Saint-Etienne). Le dirigeant stéphanois avait tenté l’impossible au préalable. Il avait cédé son activité francilienne de balisage. Mais le transfert du fruit de cette cession n’aura pas suffi à apporter le ballon d’oxygène dont il avait besoin. Thomas Wilson avait même évoqué l’arrivée de partenaires financiers. En vain… Il n’a pu redresser la barre depuis qu’il a acquis Munster à Transalliance en 2010. L’ex-société de Jean Munster était entrée dans le giron du groupe lorrain en 2007. Pour des raisons stratégiques, Transalliance décide de s’en séparer. C’est le projet de Thomas Wilson, alors directeur régional chez Transalliance, qui sera finalement retenu. Thomas Wilson annonce alors que « avec Transalliance, nous avons avancé sur ce dossier avec une volonté de transparence » (L’OT 2580). Il n’empêche, un an plus tard, le nouveau patron de Munster reprochera à Transalliance de lui avoir caché la volonté d

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