MyFerryLink à la pêche aux contrats

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« En avant toute ! » Ce pourrait être le cri d’attaque de la nouvelle équipe de la compagnie maritime, née neuf mois après la liquidation judiciaire de SeaFrance, filiale de la SNCF. Le bébé se développe bien avec deux ferries mis à flots depuis fin août 2012 et un fréteur, opérationnel depuis l’automne. Aujourd’hui, il demande surtout à être alimenté en clients pour réaliser ses liaisons Calais-Douvres. « Le liquidateur nous a fait rater la saison d’été », déplore Jean-Michel Giguet, directeur général de la Scop, adossée financièrement à Eurotunnel. Difficile donc de démarrer en période creuse. A trois semaines des fêtes de fin d’année, le comptoir d’accueil et les bateaux restaient tristement vides malgré un personnel motivé et attentionné. Le dirigeant assurait pourtant que le nombre de réservations était encourageant et les contrats étaient en pleine négociation. L’objectif pour cette première année : atteindre 10 à 15 % de taux de remplissage.

Le Berlioz et le Rodin, navires mixtes, peuvent chacun accueillir jusqu’à une centaine de camions à bord en plus des voitures de tourisme. Quant au Nord-Pas-de-Calais, dit

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