Sandrine Lespérat : En matière de logistique urbaine, Afilog a formulé des préconisations aux élus et acteurs public en anticipation de ces évolutions et des nouvelles tendances de consommation. Dans un Livre blanc publié en janvier 2012, nous avons exprimé 23 recommandations destinées à ne pas rompre la chaîne logistique jusqu’au dernier kilomètre. Nous travaillons avec Paris – qui met à jour sa charte, éditée en 2006, sur le transport et la livraison de marchandises en ville – mais aussi avec Lyon, très en avance sur ces questions, afin de voir comment appliquer ces préconisations. En tout cas, les élus consultent de plus en plus les professionnels sur ces sujets.
S. L. : L’ADN d’Afilog est avant tout de porter une expertise grâce au partage d’expériences de ses membre
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