Bruno Berthier : Nous voulons être entendus sur la demande de reconnaissance professionnelle de notre activité d’accompagnateurs de convois exceptionnels. La situation est totalement bloquée. Nous avons été renvoyés d’interlocuteurs en interlocuteurs et souhaitons ardemment l’ouverture d’un dialogue avec les ministères concernés : ceux des Transports, de l’Intérieur, du Travail et des Finances. Sans Bercy, la moto ne peut pas être reconnue comme véhicule professionnel. Or, notre couverture « assurancielle » est conditionnée à l’attribution d’un code APE et ROM.
B. B. : En France, le flou des textes laisse la possibilité à qui veut bien de ne pas respecter le code de la route. En pratique, à cause du gabarit d’un convoi exceptionnel, il faudrait bloquer la circulation, faire serrer les véhicules en contre-sens, faciliter le passage même si un feu passe au rouge, etc. Ce n’est pas légal actuellement vu l’absence de précision. On d
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