Filières au bord du gouffre, transporteurs minés

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Région déjà isolée, la Bretagne voit son industrie s’amenuiser de plus en plus. Le dégraissage dans les usines d’agroalimentaire et d’automobile risque d’avoir de lourdes conséquences pour les transporteurs.

La crise de l’industrie agroalimentaire et de l’automobile risque de plomber sévèrement l’activité des transporteurs bretons dans les mois à venir. La FNTR surveille ainsi de près trois dossiers brûlants. Le premier perdure depuis juin 2012 : Doux. Les entreprises quitravaillaient avec le volailler, toujours en redressement judiciaire, ont généralement poursuivi leur collaboration avec le groupe ou le pôle frais, vendu en partie depuis septembre. Concernant le paiement des créances qui leur sont dues, sans y renoncer totalement, les transporteurs se résignent et préfèrent souvent se concentrer sur l’avenir de leur activité. Selon Anthony Rouxel, délégué FNTR Bretagne, l’activité retrouve un fonctionnement normal et « une issue favorable est espérée ». Le groupe Doux a, en effet, obtenu fin février un nouveau sursis avec le prolongement de trois mois de sa période d’observation. L’industriel pourra

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