« La conjoncture impose que nous resserrions les rangs »
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Publié le : Dernière Mise à jour : 20.08.2024Par : SLIMANE BOUKEZZOULALecture : 3 min.
L’ancien patron de Gefco vient d’être porté par le conseil d’administration à la présidence de l’Union TLF. Le même qui, il y a tout juste trois mois, avait réaffirmé son soutien à Patrick Bouchez, l’ancien président délégué général, lequel reste numéro deux de l’organisation. Pas de déclarations fracassantes : Yves Fargues se présente en pragmatique.
L’Officiel des transporteurs : La rumeur de votre arrivée à la tête de l’Union TLF a été démentie par le conseil d’administration, il y a près de trois mois. Finalement, vous voilà intronisé à la présidence de la fédération. C’est surprenant ?
YVES FARGUES : Dans leur ensemble, les adhérents de l’Union TLF ont décidé que notre fédération avait besoin d’être renforcée et qu’il était nécessaire de revenir à un mode de gouvernance plus classique, avec un président et un délégué général. Ce qui nous y pousse, c’est la complexité toujours plus croissante des sujets que nous devons aborder, le « rempilement » (effet volume et effet complexité). La croissance est en panne, nos volumes sont en baisse, le nombre des défaillances est en hausse constan
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