Comment faire sans croissance

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Le projet de rachat d’Ebrex par Stef, majeur en particulier dans le secteur du transport frigorifique, souligne une tendance plus générale. Notifié le 19 août à l’autorité de la concurrence, qui devra rendre un avis dans le courant de septembre, l’événement se donne à lire à deux niveaux. Le premier a trait à la croissance. Après un premier semestre erratique en termes d’activité et dans un contexte d’atonie économique depuis deux ans, toutes les grandes entreprises, aiguillonnées par leurs actionnaires, cherchent de nouveaux revenus car la nécessité de chiffre d’affaires fait loi. Ce qui laisse à penser que d’autres opérations du même genre, plutôt favorables aux vendeurs, sont dans les tuyaux. Le groupe Stef, coté en bourse, n’échappe pas à cette injonction, quand il dit poursuivre deux objectifs : sanctuariser ses parts de marché en France, sa « colonne vertébrale », et atteindre une taille critique en Europe au moment où les marchés de la consommation alimentaire sont en contraction. Mais cette acquisition revêt un autre attrait, au niveau de l’outil de production. Pour dire trivialement les choses, il y a de la « casse »

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