Nouvelle déclinaison de l’ubérisation de l’économie ? Benjamin Chemla n’adhère qu’à moitié. « Oui, dit-il, dans ce sens où nous faisons appel à la technologie et à la géolocalisation de nos prestataires. Non, sur le volet social, car nous avons une démarche responsable envers notre livreur ». Allusion, notamment, à une assurance qui couvre le transport du livreur indépendant. Le cofondateur (avec Clément Benoît) de Stuart s’est engouffré dans le microcosme du transport urbain avec beaucoup d’à-propos. Sa société – une start up – a pour vocation, au travers une plateforme technologique, de connecter des commerçants et des e-commerçants à une communauté de livreurs. Des livreurs qui peuvent avoir un profil d’indépendants (auto-entrepreneurs) ou de salariés de petites sociétés de transport. « Ces petites sociétés peuvent demander
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