« Depuis la fin du premier confinement, le niveau d’activité est revenu à la normale mais les interrogations restent nombreuses, au moins pour les deux années à venir, compte tenu d’un risque accru de défection d’entreprises. Le gouvernement a dû faire face à une situation inédite qu’il a gérée au mieux. Le seul reproche que l’on puisse lui adresser concerne la situation inacceptable dans laquelle les conducteurs se sont retrouvés à la mi-mars ; ils ont été privés de sanitaires et ne pouvaient plus se nourrir. Dans notre secteur, la réglementation reste lourde et inadaptée ; elle ne tient pas compte des réalités du terrain. Il y a deux ans, notre société a traversé une période difficile. Alors que de nombreuses opportunités se présentaient à nous afin de développer des marchés et d’engager un cercle vertueux, nous nous sommes presque vus retirer nos licences. Heureusement, les banques qui nous accompagnent ont continué de nous soutenir grâce aux mesures de gestion que nous avions prises pour renouer avec la profitabilité. Comme de nombreux confrères, la circulation en région parisienne est devenue difficile ces dernières années, ce
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