Soit environ 25 % de tonnages en moins pour ce professionnel qui, d'ordinaire, livre trois millions de « pièces » par jour chez les industriels du poulet et autres volatiles. Comment compenser un tel recul ? « Nous allons patienter encore un mois puisque le marché semble se stabiliser, avance Frédéric Leblanc, directeur d'Avilog. Mais s'il repart à la baisse, nous mettrons notre personnel roulant au chômage technique ». Mesure que Pascal Guillot, directeur des opérations chez GT (33) espère éviter, bien qu'il ait enregistré une baisse d'activité comprise entre 10 % et 20 %, du 24 au 30 octobre « sur un secteur déjà en régression depuis le début de l'année ». Si le canard a encore la cote auprès des consommateurs, ce n'est pas le cas du poulet et encore moins de la dinde. Parmi les 150 conducteurs actifs sur le segment avicole du groupe GT, une partie est en « congé forcé »
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