L'OT : Quel regard portez-vous sur l'état de santé des PME-TPE du TRM ?
J. F. R. : Le secteur est l'un des plus touchés, avec ceux de la sous-traitance automobile et la restauration. Nous réfléchissons aux pistes qui pourraient lui valoir un plan de soutien, au même titre que celui accordé à l'industrie automobile. Les petites entreprises du TRM ont véritablement besoin d'aides pour les mois à venir.
La CGPME est-elle prête à apporter tout son soutien aux organisations patronales du TRM dans leurs recherches d'aides publiques ?
J. F. R. : Notre rôle est d'aider les entreprises de ce secteur, et même d'essayer de trouver les plans les plus justes pour faire face à la période difficile qui s'annonce. Votre secteur est essentiel à l'économie française. Je crois que le gouvernement en est pleinement conscient. Il s'agit donc à présent de mettre en musique les actions pour lui venir en aide.
La division au sein des organisations patronales n'est-elle pas un obstacle face aux pouvoirs publics ?
J. F. R. : Je ne peux qu'exprimer mes regrets quant au manque d'union qui existe au sein de votre profession. Si, au lieu de se lancer des piques, les cinq (sic) organisations
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