Vous avez présenté l'Unotre (Ndlr, union de l'Otre et des dissidents de l'Unostra regroupés dans Stop) le 9 septembre à Dominique Bussereau, secrétaire d'État chargé des Transports. Quelle a été sa réaction ?
J.P.M. : Nous avons effectué un tour d'horizon de la situation dans notre pays. Pour le reste, le ministre s'est montré très attentif à tout ce qui peut toucher à la représentation des PME dans la durée. L'Unotre peut être le pivot de cette représentation.
Quel est l'état d'avancement de l'Unotre ?
J.P.M : Un certain nombre d'unions de l'Unostra ont franchi le pas (Ndlr, deux officiellement au moment où nous écrivons ces lignes, Nord-Pas-de-Calais et Champagne-Ardenne), d'autres s'apprêtent à le faire, d'autres encore vont décider de leur avenir en convoquant rapidement leur conseil d'administration. Parmi les régions « pionnières », seule Franche-Comté/Bourgogne semble faire marche arrière. On voit bien qu'Yves Quemeneur (n°2 de la région) continue de miser sur la survivance de l'Unostra.
L'Unotre constitue-t-elle un pas supplémentaire vers la reconnaissance de votre organisation ?
J.P.M. : La couverture Unotre permettra un maillage total
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