L'Officiel des Transporteurs : Quels dossiers vous semblent prioritaires en tant que nouveau président du SNTL ?
S.C. : Celui de l'intégration des coursiers « deux-roues » dans la convention collective est à terminer sur le volet de la formation des personnels. Nous y travaillons avec l'Institut national de la recherche et de la sécurité et le groupe Aft. Pour les primo-accédants, la formation de 5 jours (3 +2) portera sur les règles d'exercice du métier, la sécurité et les bases de la réglementation sociale : nouvelles technologies, situations de conduite.... Il faut désormais l'organiser, puis mettre en place des piqûres de rappel. Pour les livreurs VL, nous partons des formations et diplômes existants. Ce chantier est essentiel pour la qualité des prestations et la valorisation auprès des clients.
Depuis le 1er janvier 2008, toutes les entreprises de transport léger doivent être inscrites au registre des transporteurs. Une bonne chose selon vous ?
S.C. : Bien sûr. Cette inscription donne de la légitimité au secteur et de la lisibilité à nos donneurs d'ordres puisqu'elle met un nom sur chaque entreprise. Elle participe à un assainissement en faisant sort
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