. Le 11 mai, elle a adressé une lettre co-signée par le Syndicat national des fabricants de sucre français au ministre de l'Agriculture, Dominique Bussereau, et à celui des Transports. Un courrier par lequel les deux organisations demandent que, ponctuellement, les tonnages des bennes soient relevés afin de garantir aux sucriers de Picardie, Champagne-Ardenne et Nord-Pas-de-Calais qu'ils trouveront la capacité de moyens nécessaire pour effectuer la récolte. Et sans devoir recourir à des véhicules et conducteurs étrangers... En revanche, la FNTR s'interdit de s'immiscer dans le volet commercial de l'opération, laissant aux transporteurs le soin de négocier la vente des tonnages supplémentaires avec les sucreries. « La prochaine campagne se prépare, nous avons donc une idée précise de sa durée, des itinéraires empruntés et des volumes attendus, explique Francis Babé, délégué à l'action professionnelle de la FNTR. Une carte des itinéraires ouverts aux 44 t a été élaborée. Car notre idée es
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