Un courrier leur sera adressé dans ce sens avant la réunion de la commission paritaire du 6 novembre, sachant que l'UFT ne se déclare pas hostile à une application différenciée de la hausse selon les indemnités. Pour son délégué général Philippe Choutet, cette revalorisation, qui ne se justifiait pas à la mi-juillet, correspond à l'évolution des indices de coût. « Le « retard » de 0,4% qui avait été pris au deuxième semestre 2000 s'est vu compensé par l'accord signé en février 2001 applicable rétroactivement au 1er janvier ». Pour éviter de tels décalages à l'avenir et «permettre aux entreprises d'intégrer les futures augmentations dans leur budget annuel », l'UFT suggère d'ouvrir ces négociations au début de chaque année.
Le dossier du travail de nuit sera également repris le 6 novembre, l'UFT ayant confirmé le 18 septembre son accord à la poursuite des négociations. Deux points de blocage subsistent néanmoins. Le premier tient à l
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