Le groupe allemand ayant déposé le bilan le 26 janvier (voir L'OT n°2248), le groupement Alian-Frappa-Samro, qui s'était formé pour être candidat à la reprise de Chéreau auprès du tribunal de commerce de Coutances (50), se dit peu surpris par les déboires du groupe allemand et assure avoir alerté les administrateurs judiciaires sur le risque encouru. « A cette époque, la société Kögel se trouvait dans une situation économique désespérée, affirment les signataires du courrier, MM. Gautier (Alian), Torre-Frappa (Frappa) et Soulard (Samro). Le tribunal avait lui-même souligné la précarité de la situation financière de Kögel ». Les trois carrossiers craignent maintenant que la défaillance de Kögel n'entraîne une guerre des prix de la part de l'allemand dans le but de maintenir son activité et ses volumes « conformément au plan de reprise ». « On observe aujourd'hui que le capital social du cessionnaire est dé
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?