Il s'agit de revaloriser les grilles conventionnelles en vigueur depuis le 1er février 2005, date de mise en application de l'accord du 30 juin 2004. Lequel accord a créé au sein de la convention collective des transports routiers et activités auxiliaires un protocole organisant les conditions d'emploi et de rémunération de ces salariés. Mandatée par ses composantes, l'Union des fédérations de transport a proposé de rehausser de 1,5 % les taux horaires et de 3 % les garanties annuelles de rémunération. Une « offre » rejetée par les syndicats de salariés qui revendiquent une augmentation générale des grilles de... 8 % au minimum. Cette contre-proposition n'est pas acceptable, indique Marie-Françoise Courtin, président-délégué général de la Fedimag (Fédération nationale des prestataires logistiques). « Ces 8 % correspondent à l'écart qui existait entre le minima professionne
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