BRUXELLES À LA TRAÎNE

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Entre Bruxelles et les entreprises du TRM l'incompréhension règne. Le tempo imposé par la crise économique crée un sentiment de décalage voire de retard sur les réponses prioritaires à apporter. En langage bruxellois, le transport routier doit nécessairement se réformer s'il ne veut pas altérer davantage sa compétitivité. Encore faut-il que les Etats membres exercent leur pouvoir de régulation pour que l'harmonisation européenne puisse vraiment exister.

«Le transport routier est un bon indicateur de l'activité économique générale, annonce Rémi Mayet, chef d'unité adjoint des politiques transports terrestres à la DG TREN parce qu'il reflète la réalité des flux au sein de l'UE, la crise l'affecte sans doute un peu plus que les autres secteurs.»

Le constat établi par la DG TREN s'appuie sur les statistiques de l'IRU (Union Internationale des Transports Routiers). Ainsi, l'organisation relève que depuis le mois de décembre 2007, les activités de fret routier dans les Etats membres ont diminué de 50%. « Le nombre de faillites a doublé et une baisse de 140 000 emplois a également été observée », insiste Jens Hügel, respons

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