CHANTIER PHARAONIQUE sous emprise mafieuse

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Le Parlement européen a adopté un nouvel outil pour financer les projets transfrontaliers à l’horizon 2020. Les gouvernements français et italien comptent sur Bruxelles pour cofinancer la liaison ferroviaire Lyon-Turin. Les obstacles financiers demeurent et la mafia calabraise a infiltré les travaux.

L’incohérence serait-elle une valeur partagée en matière d’infrastructures ? Les eurodéputés ont beau se féliciter du vote le 19 novembre à Strasbourg d’un nouvel instrument financier, le mécanisme pour l’interconnexion en Europe (MIE), la question mérite d’être posée pour le projet de liaison ferroviaire à grande vitesse Lyon-Turin (fret et voyageurs). Doté d’un budget total d’environ 29,3 Md€ (en prix constants de 2011) pour la période 2014-2020, le MIE consacrera 23,2 milliards au secteur des transports afin d’améliorer les connexions transfrontalières. Lors du sommet franco-italien à Rome le 20 novembre, François Hollande a enfoncé le clou et affirmé que « les travaux pourront être engagés fin 2014, début 2015. » Dans une déclaration commune avec Enrico Letta, le président du Conseil italien

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