Comment travailler avec la Suisse ?

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Les entreprises de l’UE se heurtent souvent à des complications réglementaires et administratives lorsqu’elles pénètrent le marché suisse. Pour faciliter les échanges, le transporteur SITS (68) livre ses conseils aux transporteurs français.

Si l’économie suisse est spécifique c’est parce qu’elle n’est pas membre de l’Union européenne. Pour autant, ce n’est pas une raison suffisante pour boycotter ce marché. « Notre stratégie consiste à nous développer sur des pays compliqués comme la Suisse et de répondre à des demandes spécifiques voire compliquées de clients du moment qu’elles sont rémunératrices » observe Claude Sturma, le président de SITS (Société internationale de transports et services). Située à proximité de Colmar (68), la société est devenue le premier opérateur de transport routier français indépendant sur le marché helvétique. Avec une flotte de 35 à 40 véhicules qui circulent chaque jour, SITS réalise près de 70 % de son chiffre d’affaires avec ce pays (CA 2009 : 28 M€). « S’attaquer au marché suisse exige une véritable expertise », explique Claude Sturma.

BARRIERÈS
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