Dans l’attente d’une politique pour le TRM

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Alors que le gouvernement espagnol de Mariano Rajoy a annoncé un plan de rigueur sans précédent, le TRM attend des mesures législatives en matière de délais de paiement et de répercussion « gazole ».

La grève générale du 29 mars convoquée par les syndicats espagnols pour protester contre la réforme du marché du travail n’a pratiquement pas été suivie dans le TRM. Une attitude qui s’explique, entre autres éléments, par la situation critique de la profession et les inquiétudes quant à son avenir. Les organisations professionnelles attendent que le nouveau gouvernement de Mariano Rajoy définisse sa politique à l’égard du secteur. Concernant le TRM, la seule prise de position officielle à ce jour a concerné l’eurovignette : la ministre de l’Équipement, Ana Pastor, s’est déclarée hostile à son instauration. Concernant les relations commerciales entre les chargeurs et les transporteurs, la situation semble bel et bien bloquée. Alors que le gouvernement socialiste précédent voulait parier sur la libre négociation entre les parties, les chargeurs ont refusé les demandes des transporteurs qui, eux, attendent qu

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