Des avancées concrètes

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La seconde réunion de la « plateforme du corridor Lyon-Turin » a permis au coordonnateur européen, Laurens Jan Brink, de vérifier que plusieurs obstacles à l’avancée du projet sont levés, notamment côté italien.

Laurens Jan Brink, le coordonnateur européen du projet de nouvelle ligne ferroviaire, a réuni pour la deuxième fois, le 6 mars à Chambéry, la « plateforme du corridor Lyon-Turin ». Créée en mai dernier, pour suivre l’avancée du projet, cette instance réunit les représentants des Régions et des États français et italiens : Commission intergouvernementale (CIG), Observatoire du Lyon-Turin, RFF et son homologue italien RFI, Lyon Turin Ferroviaire (LTF), le promoteur de la partie frontalière du chantier, Transalpine et Transpadana, les organisations représentant, dans chacun des pays, les acteurs économiques.

L’enjeu de cette réunion était, explique Claude Gressier, délégué interministériel français, d’étudier « l’art et la manière de mieux consommer les crédits européens d’ici à 2015 », afin de prouver à la Commission européenne que le projet avance suffisamment bien pour qu’elle y part

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