DES FAILLES SUBSISTENT PENDANT LE TRANSPORT

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Les normes, réglementations et les lois qui régissent la chaîne du froid, n’empêchent pas les pannes, les erreurs humaines, et les ruptures de charge à l’air ambiant. Autant de possibilités de litiges entre producteurs, transporteurs, et distributeurs.

Le 1er mars 2012, la Cour d’appel de Rouen a jugé un transporteur responsable de l’infection de 23t de châtaignes. Celles-ci devaient parvenir au destinataire à 3°C, il les a reçues à 15,3°C en moyenne (28°C pour certaines), infectées de vers et de moisissures. Leur valeur marchande atteignait 19 735 € mais les indemnités effectivement payées par le transporteur et son assureur n’ont pas été communiquées (source : Bulletin des Transports et de la Logistique n° 3405 du 26/03/2012).De tels cas restent isolés : en 2011, environ 5 % des véhicules transportant des denrées alimentaires, contrôlés par la Direction générale de l’alimentation (DGAL), ont commis une infraction grave en matière de maîtrise des températures des denrées alimentaires. L’enjeu est de taille : à chaque rupture de la chaîne, les développements microbiens entraînent des risques

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