Deux offres de reprise en compétition

Article réservé aux abonnés

Le sort de l’armement de ferries SeaFrance et de ses 880 salariés est entre les mains du tribunal de commerce de Paris. La juridiction, qui a examiné le 25 octobre les deux offres de reprise de la société en redressement judiciaire depuis juin 2010, a reporté sa décision au 16 novembre. Le report intervient alors que la Commission européenne a rejeté le 24 octobre le plan de restructuration de l’entreprise, considérant que l’offre du gouvernement français n’était pas conforme aux règles européennes de la concurrence. Ce plan tablait sur une augmentation de capital de 166,3 M€ par la SNCF, actionnaire unique de SeaFrance, et sur un prêt de 99,7 M€ qui a été considéré comme une aide d’État déguisée. Difficile de savoir si le tribunal retiendra l’une des deux offres de reprise. L’une associe Louis Dreyfus Armateurs (LDA) au groupe de ferries danois DFDS. Cette coentreprise prévoit de reprendre 460 personnes sur les 880 salariés en CDI et 200 en CDD saisonniers. L’autre est un projet de Scop (Société coopérative et participative) présenté par la CFDT, syndicat majoritaire dans l’entreprise. Le ministre de l’Économie, François B

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Actualités

EUROPE

Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15