« DEUX PRIORITÉS : LES SALAIRES ET LES FRAIS DE DÉPLACEMENT»

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Élu à la tête de la FGT CFTC en juin, Thierry Douine explique pourquoi son organisation n'a pas rejoint l'intersyndicale CGT/CFDT/CFE-CGC qui appelle à des actions en octobre. Il présente les revendications qu'il défend en accord avec FO Transports et la FNCR. Avec, en arrière-plan, une bataille pour la représentativité.

L'O.T. : Votre fédération ne s'est pas mobilisée aux côtés de l'intersyndicale CFDT/CGT/CFE-CGC qui annonce des actions au début octobre (L'OT 2516). Pourquoi ?

Thierry Douine : Dans la situation de crise que connaît le transport, nous essayons de faire jouer une dernière souplesse. Nous ne nous reconnaissons pas dans le procédé qui consiste à bloquer les sites des grands groupes, même si certains d'entre eux le méritent. Cette méthode radicale ne nous convient pas à cette heure. D'ailleurs, selon moi, la CGC ne restera pas longtemps dans l'intersyndicale. Comment pourra-t-elle mobiliser les cadres sur un tel mot d'ordre ?

Est-ce à dire que vous ne partagez pas les revendications portées par cette intersyndicale ?

T. D. : Bien sûr que nous pourrions, nous aussi, exiger 1 500 € pour 152 heures pour tous

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