François-Michel Lambert, le député auquel Alain Vidalies, le secrétaire d’État aux Transports, a confié le pilotage du Comité France logistique 2025, a bien voulu le reconnaître : le politique est déjà dépassé par l’irruption, dans l’économie, des plateformes numériques de mises en relation en B2B, B2C mais aussi B2B2C. Une irruption qui, outre les performances qu’elle engendre sur le champ des flux d’informations, remet en question un certain nombre de modèles, notamment sur le plan social. Car, déjà, deux modèles coexistent : le bon vieux salariat et le statut d’autoentrepreneur, avec son lot de précarité. Dans le TRM, certaines fédérations professionnelles – l’OTRE et le SNTL (transport léger) en tête – bataillent déjà contre ces nouveaux acteurs du transport qu’elles accusent de « concurrence déloyale ». Franço
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?