Une revalorisation qualifiée de « diététique » par la branche route de la CFDT. A l'exception de la CGT, les organisations syndicales demandent un relèvement de 2 % au minimum et ce, « dans les plus brefs délais ». La partie patronale donnera sa réponse le 16 février. Sachant que « le taux de 1 % correspond au niveau actuel de l'inflation et aux marges de manoeuvres limitées d'entreprises qui connaissent une situation de plus en difficile », explique Olivier Mugnier, délégué général de l'UFT. La CGT, elle, se place sur un autre terrain. « Nous en avons marre du protocole «frais de déplacement» tel qu'il est. Cette fumisterie a assez duré. Les employeurs s'en servent pour compenser les heures supplémentaires ou les temps d'attente non payés, clame Patrick Vancraeyenest, responsable TRM et logistique à la CGT. Nous demandons que les conditions d'attribution des indemnités soient redéfinies ». Au chapitre des négociations salariales, les partenaires sociaux sont convenus de se réunir l
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