Le numéro deux du gouvernement fait les frais de la cacophonie liée à la fiscalité écologique et au bonus-malus en particulier. Si son «capital confiance» baisse au sein du gouvernement, c'est aussi parce que son ardeur à défendre la croissance verte a été torpillée par les députés UMP et le ministre du Budget Eric Woerth. Résultat, au lieu de fêter le premier anniversaire de son Grenelle de l'environnement, le 23 septembre, le ministre d'Etat a dû enterrer la généralisation du bonus-malus écologique. Mais si la fiscalité écologique n'est pas tout à fait mûre, Jean-Louis Borloo n'en a pas profité pour se mettre au vert.
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?