Plus de 10 jours après la réunion à Bruxelles des ministres européens des Transports qui ont reporté au 1er janvier 2006 l'introduction du tachygraphe numérique, le ministère des Transports français et la DTT n'ont toujours pas fait savoir leur position officielle sur le sujet. Le silence cache-t-il un manque de certitudes sur la possibilité d'appliquer correctement le dispositif en France ou permet-il de tenir compte de l'avis des industriels (constructeurs VI et fabricants d'appareils) avant d'annoncer un calendrier ? La lenteur de réaction du ministère tranche avec celle des organisations professionnelles qui, dans leur ensemble, ont réagi favorablement à cette décision bruxelloise.
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