Plus de 20 % des transmissions d'entreprises se soldent par un échec dans les six ans qui suivent l'opération. C'est la conclusion d'une étude réalisée par la banque Oseo-BDPME, sur un panel de 3000 dossiers, sur 27000 cas répertoriés entre 1997 et 2003. Précisément, le taux d'échec est de 5 % deux ans après la transmission, à 13 % au bout de quatre ans et 21 % au bout de six ans. Trois causes augmentent le risque de défaillance : quand la cession est précipitée ; que le remboursement de la dette liée à la reprise est trop haut ; ou que le repreneur n'a aucun lien avec l'entreprise.
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