Selon le quotidien britannique Financial Times (15 janvier), « les conditions sont réunies pour que les négociations soient amicales et constructives » entre Ferdinand Piëch, président du conseil de surveillance de Volkswagen, Ekkehard Schulz, celui de Man, et Jacob Wallenberg, au nom de Scania. Volkswagen, premier actionnaire des deux protagonistes, jouerait le rôle d'arbitre dans les négociations. Il a rejeté le 11 janvier l'offre de Man, jugée trop faible, de 10,2 Md€. La date limite de la proposition actuelle est fixée au 31 janvier. Volkswagen est favorable à une fusion amicale entre les deux constructeurs, à laquelle il apporterait ses propres activités poids lourds.
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