Entre confiance et incertitude

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Repris en juin 2007 par DKTrans, holding copilotée par Jan Ebus, patron du groupe hollandais Ebrex international, Ebrex France (ex-Nexia) semble naviguer à vue.

Entre la direction et les représentants syndicaux, l'appréciation de la situation d'Ebrex France (1 432 salariés) varie à l'extrême. Selon William Gaillard, président du groupe après la reprise par Ebrex International, « le plan de redressement est en bonne voie ». Qualifiant son entreprise de « malade en convalescence », il parle d'« équipes qui se fédèrent et d'état d'esprit positif de la part des directeurs d'agences (Ndlr, 24 au total) ». Il reconnaît que, contrairement à ce qui était prévu, « il sera difficile d'être proches de l'équilibre compte tenu de la conjoncture ». Mais assure qu'Ebrex France dégagera un résultat d'exploitation bénéficiaire. « C'est le cas depuis quelques mois. Même l'agence de Rungis (94), éternellement déficitaire, a dégagé un résultat positif en mai », se réjouit William Gaillard. Le constat n'est pas partagé par René Marchand, délégué CFDT. « La situation de l'entreprise est préoccupant

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