L'OTRE et l'Unostra Nord-Pas-de-Calais n'ont pas atteint la capitale. Ils n'ont pas rencontré Gilles de Robien. Ils n'ont obtenu gain de cause sur aucune de leurs revendications. Pourtant, les organisateurs des actions de terrain menées entre le 22 et le 26 novembre affichent des motifs de satisfaction. Le premier est d'avoir focalisé l'attention pendant une semaine grâce à « l'opération Hexagone » (L'O.T. 2287). La décision d'y mettre un terme résulte plus d'une contrainte que d'un choix. Les demandes de manifestations présentées à Strasbourg, Le Havre, Lille et Bordeaux ont en effet abouti à des arrêts préfectoraux interdisant ces rassemblements. Et Pascal Debruyne, vice-président de l'Unostra Nord-Pas-de-Calais, regrette l'absence de mobilisation de sa fédération au plan national. « Il était politiquement incorr
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