L’OT : Pourquoi estimez-vous que la franchise peut se développer dans le secteur du transport routier ?
La franchise a montré dans le commerce de détail qu’elle est une forme d’organisation efficace et dynamique qui, je pense, peut offrir les mêmes performances dans le transport routier car des similitudes existent. Tout d’abord, ce sont des activités reposant sur une structure en réseau et ensuite contraintes à une massification des flux. D’autre part, dans chacune existe une forte culture du métier très individualiste et professionnel. Pour des raisons économiques, notamment d’accès à des marchés importants, les transporteurs ont besoin d’un collectif, d’une coordination, d’une mutualisation pour capter, négocier et piloter des flux. D’où la nécessité, pour réussir à travailler ensemble, de se
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