Destiné à concurrencer le GPS américain, le dispositif de radionavigation par satellite sera déployé entre 2006 et 2008 pour un coût de 2,1 milliards d'euros. Il sera financé et exploité par des opérateurs privés que la Commission sélectionnera avant la fin février 2005. Elle choisira entre deux groupements : Eurely (Alcatel-Finmeccanica-Vinci) et iNavsat (Thales-EADS-Inmarsat). « Galileo est sans doute le plus beau projet technologique européen et représentera une révolution technologique équivalente à celle engendrée par le téléphone portable, a déclaré Jacques Barrot, commissaire européen aux Transports. Cette aventure illustre comment l'Europe sait mettre les efforts en commun au service d'une ambition collective ».
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