Dans le cadre des plans de déplacements urbains, les collectivités locales sont tenues de mettre en cohérence les horaires de livraison, les poids et dimensions des véhicules au sein de leur périmètre de transport urbain. Ce qui est loin d'être le cas. En reflète une étude réalisée par Interface transport auprès des 50 plus grandes agglomérations françaises. Le bureau d'études a constaté 74 façons de décrire un véhicule de livraison, 19 manières de désigner les aires de stationnement, 10 façons de dénommer les zones piétonnes et 21 seuils de tonnage. Le Grand Lyon ne fait pas exception à la règle. Selon le diagnostic établi dans le cadre du PDU, 18 seuils de tonnage sont en vigueur dans les 55 communes. « De plus, il y a une incohérence entre les arrêtés municipaux et la sign
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