Pétrole, gaz et autres déchets nucléaires sont acheminés dans 58 % des cas par la route. Bruxelles, considérant la législation en vigueur « complexe et dispersée » et désireuse de sécuriser ce type de trafic, a souhaité intégrer les textes existants dans un seul règlement qui couvre désormais tous les modes de transport, fluvial compris. En résumé, les procédures administratives pour l'expéditeur et le destinataire seront facilitées, la documentation des opérations et des véhicules de transport devrait également être plus simple tout comme la formation des personnes et le travail des conseillers à la sécurité dans les entreprises. Le Parlement a aussi approuvé plusieurs amendements : les États pourraient ainsi interdire la circulation sur leur territoire de produits dangereux pour des raisons autres que de sécurité, soit la protection de l'environnement ou de la sécurité nationale. Ils devraient aussi avoir le droit, « pour faire face à
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