Haro sur le transport routier « low cost »

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L'audience organisée le 20 avril à Bruxelles pour analyser les effets de la crise économique sur le transport a permis aux organisations professionnelles d'exposer des doléances. Les débats ont fustigé les pratiques « low cost ».

Le TRM ressemblera-t-il à un champ de ruine lorsque la crise sera passée ? La question hante les principales organisations professionnelles européennes au même titre que les lobbies, dont l'IRU. Les craintes sont grandes. L'audition de la profession par la DG TREN, le 20 avril, est venue corroborer ce constat. Auditionner- par définition- c'est recueillir tous les avis pour affiner le diagnostic. Et reconnaître que la brutalité de la crise n'empêche pas l'analyse. Brutalité, incertitude sur l'issue de la crise. Voire catastrophisme dans certains pays. En Espagne, près de 7000 entreprises ont disparu depuis un an. « La situation est d'autant plus alarmante qu'une crise politique s'ajoute à la crise du transport », analyse Pere Padrosa, président du Conseil transport de marchandises auprès de l'IRU. « La nomination d'un nouveau ministre de l'équipement et des transports (José Blanco) prouve que la ge

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