Il va falloir payer

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L'association UETR, qui revendique la défense des intérêts de 185 000 PME en Europe, a attendu son 10e anniversaire pour tenir son premier congrès le 19 octobre. Sa motivation ? Être reconnue par la Commission européenne et le Forum international des transports (ex-CEMT) pour pouvoir... exister.

De quoi peuvent bien parler des fédérations nationales de transporteurs porte-paroles de la culture PME, une fois réunies en congrès européen ? Réponses : du couple croissance économique/transport, du financement des infrastructures, de l'après-pétrole et de l'accès à la profession et au marché. Ces quatre thèmes figuraient en tout cas à l'ordre du jour du congrès de l'Union européenne des transporteurs routiers, organisé le 19 octobre à la Maison des associations internationales de Bruxelles. En sommeil ces dernières années, l'UETR a misé sur cette journée pour gagner la reconnaissance de Bruxelles, mais aussi pour fédérer ses troupes. Elle en compte huit : l'Unostra pour la France (membre fondateur), l'UPTR et SAV pour la Belgique, NIT pour la Hongrie, Fenadismer pour l'Espagne, FITA et Confartigianato Trasporti

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