Une élection immédiatement contestée par TLF au motif que « sur les 17 administrateurs présents (sur 18, ndlr), seuls sept ont voté en sa faveur ». Les cinq représentants de TLF n'ont pas pris part au scrutin. Avant même le vote, le 7 octobre, l'organisation avait en effet fait part au ministre des Transports de son désaccord sur le principe d'une telle candidature. Jean-Louis Amato se présentait, en effet, en tant que « personnalité qualifiée » désignée par le ministère par un arrêté du 24 août dernier et non comme administrateur nommé sur proposition des organisations professionnelles (L'OT 2325). Aux yeux de TLF, qui proposait son propre candidat, ce procédé rompt avec un principe de « déontologie professionnelle » qui avait toujours prévalu jusqu'ici. Pour la fédération, il en va même de « la crédibilité du CNR ». Suite au vote, l'organisation a donc adressé un courrier à Dominique Perben pour lui demander l'annulation du scrutin et la tenue de nouvelles élections. Une requête demeurée sa
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