Lequel devrait examiner le 18 mars, dans le cadre d'une procédure en urgence, si la mesure proposée par l'entreprise girondine constitue « un trouble manifestement illicite portant atteinte au droit constitutionnel de grève », comme l'invoque la CFDT locale. Rappelons que, début février, la direction de GT Logistics avait proposé un contrat de « garantie de permanence de prestation » à ses 94 employés du site de Tarnos où l'entreprise exploite une plateforme pour le compte du fabricant de moteurs d'hélicoptères Turboméca. Selon le délégué syndical CGT de l'entreprise, une quarantaine de salariés ont saisi le conseil des prud'hommes de Dax pour demander que la prime soit versée à tous, sans discrimination, et pour réclamer la condamnation de l'employeur pour atteinte au droit de grève.
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