La « base » secoue la présidence

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Le 15 septembre au Palais des congrès à Paris, la FNTR réunissait 750 professionnels. L'occasion de « prendre leur pouls » trois jours après les mesures annoncées par Dominique Perben. Chez certains adhérents, en désaccord, les pulsations ont grimpé.

«Il est plutôt rare que nous organisions ce genre de réunion de crise. Mais nous devions faire comprendre à nos adhérents en quoi les mesures que nous avons obtenues de Dominique Perben constituent des solutions. Et cela en faisant preuve de pédagogie, ce qui n'est pas toujours évident » indique François Branche, l'un des quatre co-présidents de la FNTR, pour justifier de la convention exceptionnelle de la fédération qui s'est tenue le 15 septembre à Paris et qui a rassemblé 750 professionnels, dont 22 présidents de région. Rassemblement organisé à huis clos. Faut-il en déduire que le récent « combat » engagé par les dirigeants des instances nationales (L'OT 2324) ne répond pas complètement aux attentes de la « base » ? Il a fallu en tout cas au cours de la grand-messe « canaliser une certaine grogne, confesse Georges Causse, autre co-président. Dont celle de ce tran

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