Lequel vise à renforcer le rendement commercial du groupe, avec une « offre à plusieurs tiroirs », s'appuyant sur l'organisation de transport, la distribution et la logistique. Les appels d'offres de plus en plus conséquents à l'échelle européenne font partie des éléments déclencheurs. « Notre organisation doit mieux faire jouer les synergies en transversal tout en gardant la proximité en région, qui fait notre force. Au final, le client ne doit connaître qu'un seul interlocuteur », assure Alexandre Michel, aux manettes du groupe depuis le retrait en janvier de son père, Philippe Michel, qui demeure président du conseil d'administration. À l'échelon opérationnel, Transalliance a mis sur pied un réseau spécifique, baptisé Transadis, dédié au fret palettisé. Il répond à la fragmentation des envois. De même, un pôle « automobile » intégrant des centres de préparation logistique (environ 70 M€ de chiffre d'affaires) a été fondé en 2006, peu de temps après la c
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