La branche vrac sous tension

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Un directeur d'agence a annoncé lors d'un comité d'entreprise qu'une centaine de polonais supplémentaires allaient être embauchés d'ici la fin de l'année dans la branche vrac (670 salariés). Or, il n'y aura pas de travail pour tout le monde et on sent que la direction pousse les conducteurs dehors pour éviter de mettre en place un plan social en France »

«

. Daniel André, délégué CFTC à l'entrepôt de Saint-Rambert-d'Albon (26) est inquiet. Selon lui, Norbert Dentressangle veut « couper dans la masse salariale pour remonter les marges bénéficiaires ». Pascal Petit, secrétaire de la section transport de la CFDT Drôme et Ardèche renchérit. « On sent une volonté de substituer des chauffeurs polonais aux chauffeurs français. Aujourd'hui, Dentressangle exerce une pression importante sur les salariés pour qu'ils partent d'eux-mêmes ». La direction n'a pas souhaité faire de commentaires. Le groupe, dont la rentabilité de la branche transport est tombée à 3,4 % au premier semestre contre 5 % un an plus tôt, a annoncé la mise en place de mesures radicales pour redresser la barre au second semestre. Dentressangle emplo

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