La France est venue défendre sa demande de mesures de sauvegarde, dans le cadre de l'élargissement du cabotage aux États ayant rejoint l'UE en 2004 (L'OT 2501). « À l'issue de la rencontre, la Commission s'est engagée à transmettre sa réponse avant le 30 juin », note Laure Lassagne, conseillère technique au cabinet du secrétaire d'État. S'agissant des revendications des organisations professionnelles françaises, Dominique Bussereau a décidé d'augmenter de 20 000 le nombre de contrôles effectués chaque année et de doubler le montant de l'amende en cas de cabotage irrégulier, à savoir 15 000 € au lieu de 7 500 €. L'immobilisation du véhicule étant automatique en cas d'infraction avérée. En réponse à la position française, Antonio Tajani a indiqué que Bruxelles s'impliquerait dans un contrôle renforcé du cabotage grâce à une meilleure formation des contrôleurs. En outre,
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