SÉBASTIEN SCHMITT : La principale problématique des entreprises c’est celle du prix et du crédit. Une équation difficile à résoudre. La plupart veulent une carte professionnelle passe-partout qui couvre bien leurs besoins et qui soit dédiée à leur métier. Or, plus il y a de services associés à une carte et plus cela coûte cher à l’entreprise.
S.S. : Avec des ratios financiers qui ne sont pas très bons, les entreprises du secteur du transport sont mal vues du côté des groupes qui sont pilotés par des impératifs financiers. Du coup, les conditions d’obtention des cartes de paiement sont plus sévères avec des demandes de garanties plus élevées. La couverture du risque est devenue un élément essentiel de négociation pour les fournisseurs de cartes. Les entreprises de transport les plus exposées au risque se voient accorder une autorisation de crédit moins importante que par le passé et des délais de paiement en baisse. Sachant qu’actuellement, les délais sont de 15
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