Une suggestion qui intervient alors que la possibilité pourrait être donnée aux États membres de l'UE de décider la mise en oeuvre unilatérale de l'appareil. Dans un communiqué, l'organisation professionnelle s'inquiète que « la France, compte tenu des agréments reçus par Actia, soit tentée de prendre des initiatives isolées ». Une exception française qui serait vécue par « les transporteurs nationaux routiers comme des "35 heures technologiques" », ironise-t-elle. La FNTR préconise donc une période de test d'envergure nationale sur un nombre significatif de véhicules et de conducteurs pour que soient vérifiés tous les paramètres d'application de cet appareil : le circuit de distribution des cartes, leur fonctionnement, la collecte et le stockage des informations... Elle se dit d'ailleurs disposée à participer à l'organisation et au suivi méthodique de cette expérimentation. Pour mémoire, Bruxelles devrait proposer un moratoire, pour une période de 8 à 12 mois, à l'ensemble des règles régissant l'introduct
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