La France impose son cadre

Article réservé aux abonnés

L’acheminement en France de semi-remorques seules par les armateurs turcs défraie la chronique. Les liaisons Toulon-Terkidag et Marseille-Pendik sont assimilées à du cabotage illégal lorsque les semis sont ensuite tractées par des conducteurs turcs. L’AFTRI préconise une coopération rigoureuse entre les transporteurs des deux pays.

Les autoroutes de la mer sont-elles en passe de compromettre la coopération économique entre la France et la Turquie ? La Turquie bénéficie de 30 000 autorisations bilatérales annuelles, mais elles ne suffisent pas à son volume d’exportation vers la France qui pourrait se traduire par un débarquement annuel de 200 000 remorques dans les ports de Toulon et Marseille. En conséquence, le ministère français des Transports a créé 5 000 autorisations spécifiques permettant d’augmenter ce contingent, lesquelles s’appliquent aux tracteurs français ou européens autorisés à caboter. L’Association française du transport routier international (AFTRI) est au cœur de cette affaire. Elle a organisé une réunion à Marseille le 20 octobre avec l’armateur turc UND, les transporteurs français adh

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Actualités

EUROPE

Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15