Barrages filtrants, opérations escargot... les sept fédérations patronales italiennes du transport routier sont bien décidées à se faire entendre. Les organisations Cna-Fita, Confartigianato trasporti, Fai, Fiap L., Fiap M., Sna/ Casartigiani et Unitai, qui représentent 80% des effectifs dans plus de 100 000 entreprises de transport, ont débuté le 10 décembre un mouvement de protestation qui devrait durer jusqu'au 14 décembre minuit. « Il y a une moyenne de 90% de grévistes au niveau national, la réponse est très forte », a indiqué à l'AFP Paolo Ugge, président du syndicat Fai. Les transporteurs veulent compenser la hausse du prix du gazole et des coûts d'exploitation, éliminer la concurrence déloyale et obtenir des certitudes sur les délais de paiement. « On ne demande pas des choses extraordinaires, juste des mesures qui existent déjà, par exemple en France, sur notre contr
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