Le groupe, qui juge l'article diffamatoire basé sur des « informations aussi fausses qu'imaginaires », envisage de saisir le tribunal correctionnel de Paris et se réserve la possibilité de faire réparer les dommages qui résulteraient de la publication de l'article. « Nous sommes l'objet d'une tentative d'assassinat par voie de presse. Dans notre secteur professionnel, des rumeurs sans fondement peuvent se transformer en maladie mortelle. On ne va pas se laisser faire », assure Alain Bréau. Pour le patron de Mory Group, qui reconnaît la présence d'un mandataire ad hoc (dont la mission se termine fin juin), la tentative de déstabilisation résulte d'un climat de concurrence exacerbée. « Le dénigrement est devenu un argument commercial. Désormais, nous porterons plainte contre X quand nous aurons la preuve d'agissements malveillants ». En 2007, sur un chiffre d'affaires consolidé de 920 M€, Mory Group a enregistré un déficit
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